- Malgré 12 jours de guerre et des actions militaires d’Israël et des États-Unis, l’impact sur les marchés financiers est resté relativement limité.
- Le prix du Brent (= prix du pétrole) a brièvement augmenté de 10 $, mais a de nouveau chuté lorsqu’il est apparu que la réponse iranienne n’affectait pas les infrastructures énergétiques.
- Un blocus du détroit d’Ormuz nuirait à l’Iran économiquement et géopolitiquement, en particulier compte tenu de sa faible position militaire et de son manque d’alliés.
- L’impact mondial du pétrole resterait limité car l’OPEP dispose de capacités inutilisées suffisantes et les réserves stratégiques pourraient être exploitées.
- On estime qu’une hausse de 10 dollars des prix du pétrole n’augmenterait l’inflation que de 0,2% et réduirait la croissance de 0,1 %. Ce qui aurait un impact limité sur l’économie mondiale.
- La volatilité des marchés financiers s’est surtout reflétée dans les prix de l’énergie. A court terme, cependant, une prime de risque géopolitique subsiste sur les prix du pétrole.
- Face à l’incertitude géopolitique persistante, un portefeuille diversifié est essentiel.
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